A la question « Tu es plutôt bec sucré ou bec salé ? », la réponse est invariablement la même : bec sucré pardi ! Gâteaux, bonbons, chocolats, j’aime tout et j’affine d’année en année mes goûts pour aller de plus en plus vers les œuvres d’artisans gourmands. Et là, j’apprends avec ravissement que le quartier de la célèbre rue du Bac, de la rue de Sèvres jusqu’aux rives de la Seine, célèbrera du 15 au 19 juin le sucre et ses transformations sous la bannière Bac sucré.
« Bac Sucré » : une édition 2016 mettant les fruits à l’honneur.
Pâtissiers, chocolatiers et commerçants du quartier se sont passés le mot pour nous mettre les papilles en folie, grâce à des ateliers, des démonstrations, des rencontres et évidemment des dégustations. Yummy miam miam ! Saveurs insolites, créations originales et associations inédites seront proposées aux passants gourmands, de 7 à 77 ans pendant six jours. C’est quand même génial !
La Pâtisserie des Rêves, Angelina, la Maison Dalloyau, les Ateliers du Bac, La Grande Épicerie, Jacques Génin… Cette opération est un festival de grands noms mettant en valeur les créations autour du sucre destiné au grand public… mais pas seulement, puisque les écoles du quartier ouvriront également leurs classes aux pâtissiers et chocolatiers qui feront découvrir leur passion.
Le sucre : faire plaisir et se faire plaisir !
Alors attention, cette opération n’est pas destinée à promouvoir le sucre dans sa globalité. Il s’agit ici d’un « festival » pour mettre en avant un véritable savoir-faire français, grâce à des artisans et des grandes maisons. Et ce qui ne gâche rien, la rue du Bac – et son quartier en général – est un véritable repère de bonnes adresses et de pépites cachées ou non.
Et moi, les gourmandises, j’aime ça. Pour le blog ou plus certainement pour moi, j’ai l’occasion de tester des tea-time de folie dans des palaces (ou non) et de déguster des merveilles comme le gâteau basque de la Maison Pariès (à deux jets d’espadrilles de la rue du Bac, tiens tiens) ou les meringues de La Meringaie. Bref, je ne peux qu’adhérer à ce type d’opérations. Alors alors, qu’est-ce que vous faites encore là ? Hop, filez rue du Bac !
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